Saint Seiya Resurrection
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
-35%
Le deal à ne pas rater :
Philips Hue Kit de démarrage : 3 Ampoules Hue E27 White + Pont de ...
64.99 € 99.99 €
Voir le deal

Aphrodite des Poissons

2 participants

Aller en bas

Aphrodite des Poissons Empty Aphrodite des Poissons

Message  Aphrodite des Poissons Jeu 22 Nov - 16:46

Prénom : Aphrodite

Nom (facultatif) : --

Surnoms (facultatifs) : --

Dieu servi : Athéna, quand il y pense

Date de naissance (facultatif) : 10 mars

Groupe sanguin (facultatif) : O

Signe astrologique (facultatif) :
Poissons

Lieu d'entrainement : Groënland

Passé :
Nord de la Suède.
Approcher le cercle polaire au coeur de mars, c'est entrer dans un monde de crépuscule et de nuit. C'est aussi apprendre le froid. Les températures en cette saison tombent largement en dessous de zéro. La neige de décembre gèle, et fige les paysages en étendues de vide, comme un cocon glacé qui atténue bruit et même vie. Lorsqu'on naît dans un univers de froid, de nuit et de silence, quelle âme peut-on avoir ?
Elle était revenue sur la terre qui l'avait vue naître pour que son enfant y voie le jour également. Pour que lui aussi naisse dans dans ce monde à la blancheur éblouissante, immaculée, dont la lumière se fondait au teint de lait de la femme. Un paysage de coton et de nuages glacés, où elle évolua un instant, parcourant l'inattendu jardin de son regard scintillant. A présent, que ferait-elle ? Elle était si jeune encore. La seule certitude qui lui restait, c'était le sentiment d'être en vie. Elle vivait, et que ce fusse par amitié ou par faiblesse n'avait plus tellement d'importance, à présent, car se présentait à elle les prémisses d'une nouvelle vie, loin du sanctuaire, loin de la Grèce, dans le pays où ses parents, qu'elle ne connaissait pas, s'étaient unis, et dans le pays où son enfant était né. Alors Aphrodite détourna les yeux de la longue étendue blanche, et entra dans la ville, dans la civilisation, dans sa nouvelle vie.

Aphrodite, petite Aphrodite. C'était au sanctuaire qu'on l'avait ainsi surnommée, à l'époque où elle était apprentie. Oh oui, c'était une belle enfant, très belle, fleur de neige au milieu des pierres et des ruines du sanctuaire, sous l'écrasant soleil grec. Sa fragile beauté l'avait servie. Les femmes-chevaliers, pourtant dures et sauvages, l'avaient adoptée, et certaines même s'abandonnaient, le soir, à longuement brosser sa longue cascade de cheveux blonds encore si fins. On était venue la chercher au coeur de la Suède, très jeune, pour, lui avait-on dit, apprendre à devenir une guerrière, pour protéger le monde, et , surtout, Athéna. D'Athéna, elle n'avait connu que cette immense statue qu'on voyait de très loin, lorsqu'on approchait l'esplanade. Rien de plus. Mais chaque jour, on lui disait que la déesse était bien présente, partout dans le sanctuaire, partout dans le monde, dans le coeur de chacun de ses serviteurs. Le sanctuaire était un endroit étrange, au sujet duquel elle ne cessait de s'étonner depuis le jour où on l'y avait amenée. La distinction entre les chevaliers hommes et femmes était marquée par une séparation des plus nettes. D'ailleurs, c'était une femme qui était venue la chercher, une femme chevalier qui dissimulait un regard déterminé mais tendre sous un masque froid et inexpressif, qui l'avait menée jusque sur l'île sacrée, c'était elle aussi à qui la petite "Aphrodite", qui n'avait pas connu la sienne, s'attacha comme à une mère. Elle se prénommait Ala et c'était un chevalier d'argent, porteuse d'une armure qui attend aujourd'hui le successeur de cette guerrière droite et loyale, et ce fut elle qui l'entraîna du, pour qu'un jour Aphrodite obtienne le droit de se lier à l'armure de bronze aux courbes graciles qui l'avait appelée. Qui les avait appelées, car elles étaient trois à aspirer à endosser un jour cette armure. Trois filles, détail curieux... Mais Aphrodite était la mieux placée, la plus rapide, la plus puissante des trois... mais cela se jouait à bien peu. Les années passèrent, trop d'années, trop peu de différence de puissance entre les trois fillettes, et l'armure ne semblait pas vouloir trancher d'elle même. Cependant, aux yeux des autres, il faisait de moins en moins de doute que ce serait Aphrodite qui l'emporterait, à la grande fierté d'Ala. Mais le temps s'étirait et s'allongeait, et bientôt, il ne fut plus possible d'attendre davantage, et l'on décida d'un combat en règle entre les trois aspirantes, le premier jour du printemps.
Cet hiver là saluait la quinzième année de l'élève d'Ala. L'enfantine mais éclatante beauté de la petite Aphrodite s'était accentuée, prenait à présent son inspiration dans les plus belles parures de la nature... Mais il y avait déjà bien longtemps qu'on avait masqué son visage de nacre et de soie, ses grands yeux aux teintes céruléennes, et cela faisait également bien longtemps que son corps aux membres délicats subissait quotidiennement les rigueurs d'un entraînement de chevalier. Elle n'en avait pas moins perdu son surnom et en jouait, mutine parfois, faisant voler sa longue chevelure d'or dans le vent, sous le regard indulgent d'Ala. Le maître et l'élève n'en déviaient pas pour autant leur attention de l'évènement auquel elles devaient se préparer. Elles se retirèrent dans une partie inhabitée et peu fréquentée de l'île sacrée pour se lancer dans cette dernière ligne droite. Elles s'installèrent dans un semblant de cabane montée à la va-vite, cela suffirait bien pour le temps qui restait. Mais un jour, Ala lui annonça qu'elle partait. Qu'elle s'absentait durant plusieurs semaines, une mission que le sanctuaire lui avait confiée dans un pays éloigné. Qu'elle ne s'inquiétait pas pour Aphrodite, qui était très capable, disait-elle, de poursuivre cette si importante préparation seule. Qu'à son retour aurait lieu ce grand test qui devait déterminer qui viendrait grossir les rangs des chevaliers d'Athéna.
Aphrodite se retrouva seule, pour la première fois depuis bien des années. Elle ne retourna pas aux camp des femmes du sanctuaire, puisqu'Ala avait souhaité qu'elle continue à s'entraîner dans cet endroit reculé où elle l'avait menée. La solitude ne lui plaisait pas tellement, mais elle fit avec durant quelques temps, jusqu'au jour où une arrivée impromptue l'arracha à ce calme imposé. Une arrivée peu après l'aube, alors qu'elle était levée depuis une heure à peine. Et quelle arrivée ! Quelle étrange visite, qui n'en était pas une. Des deux côtés, la première réaction fut la surprise et la méfiance totale. C'était un endroit isolé... Pas un endroit où on peut s'attendre à rencontrer un logement de fortune occupé par une apprentie chevalière, et pas non plus un endroit où on peut s'attendre à croiser...

Lorsqu'Ala revint, à quelques jours de la date prévue du combat décisif, on pouvait dire qu'Aphrodite était prête à passer ce test, et à remporter son armure. A deux détails près. Elle était plus sceptique que jamais sur le bien fondé de toute cette armée d'hommes et de femmes, d'enfants même parfois, qui se vouait corps et âme à une déesse qu'ils n'avaient jamais vue... Et son état général avait changé. Bien sur Ala ne put s'aperçevoir de quoi que ce fut, mais son élève ne lui dissimula pas que désormais, elle attendait un enfant. Ce qui consterna Ala... Car bien entendu, cela voulait dire que jamais sa disciple ne deviendrait chevalier. Que faire, à présent, de cette apprentie à laquelle elle était si attachée et qui n'obtiendrait pas l'armure pour laquelle elle était vraisemblablement née ? Que deviendrait "Aphrodite" ? Ceux qui échouaient, comme ceux qui réussissaient, ne quittaient jamais l'île sacrée. Lorsqu'on entrait sur cette terre, c'était pour ne plus la quitter que ponctuellement... Devenir serviteur, ou garde, au mieux, c'était ce qui attendait ceux qui ne devenaient pas chevaliers, lorsqu'ils ne mouraient pas. Cela, Aphrodite le savait fort bien, car celui qui était venu à elle, par hasard ou sur l'impulsion du destin, était dans cette situation. Un enseignant dur, bien loin de l'attention presque maternelle d'Ala, peu d'attachement envers une Athéna hypothétique, et bien peu de puissance. Il avait fui le sanctuaire, et cherchait à fuir l'île sacrée lorsqu'il avait croisé avec stupeur la route de l'apprentie chevalière. Ils s'étaient parlé. Il était beau, il était déterminé, et il disait tout haut ce que depuis longtemps, elle pensait en silence. Et ils s'étaient plu. Son nom n'avait pas d'importance, puisqu'après être resté dissimulé quelques jours auprès d'elle, il avait disparu. Enfui ou mort ? avait-il pu quitter l'île ? La façon dont il lui avait dit s'y prendre était-elle fiable ? Beaucoup de questions sans réponses qui ne l'assaillirent pas bien longtemps. Peu lui importait le sanctuaire et la chevalerie d'Athéna, elle aussi voulait partir... mais pas sans avoir fait ses adieux à Ala. Aphrodite n'en doutait pas, Ala comprendrait. Alors, elle l'attendit. Et cette attente fut le cadre d'une constatation conséquente...
Ala ne comprit pas. La femme-chevalier se trouvait face à une situation qu'elle ne savait comment gérer... La première nuit qui suivit son retour fut prsqu'entièrement blanche. Mais lorsqu'elle s'éveilla, Aphrodite s'en était allée, profitant des dernières heures de nuit, et Athéna seule savait si elle se trouvait encore sur l'île.

La chevalière la chercha, ne la trouva pas. Elle fut bien obligée d'en référer aux autorités du sanctuaire... Son élève s'était enfuie... Mais le reste, elle ne le mentionna pas. On la rechercha... un peu. après tout, il ne s'agissait que d'une apprentie, aspirante parmi d'autres à une même armure de bronze...
Ala ne voyait à vrai dire qu'un seul endroit où son élève aurait pu se rendre, dans la mesure moyennement probable où elle aurait réussi à mener son voyage à bien. En Suède bien sur, son pays natal. Hormis l'île sacrée, elle n'avait connu aucun autre endroit. Sur ce point aussi, la femme-chevalier garda le silence, quelle importance, à présent ?

...
Aphrodite des Poissons
Aphrodite des Poissons
Chevalier d'or

Messages : 11
Date d'inscription : 08/11/2007

Revenir en haut Aller en bas

Aphrodite des Poissons Empty Re: Aphrodite des Poissons

Message  Aphrodite des Poissons Jeu 22 Nov - 16:47

Quelques années passèrent. La brillante armée d'Athéna à cette époque était dépeuplée, et l'une des activités principale du sanctuaire, nécessité obligé, était de localiser, de trouver, puis de former ceux qui prendraient la relève. Ala quitta le sanctuaire à la recherche du successeur à sa propre armure, quelque part en Angleterre. Pourquoi donc se rendit elle jusqu'en Suède, cette année-là ? Son échec avec Aphrodite lui avait été particulièrement pénible, tant pour l'attachement qu'elle lui avait porté que pour les qualités de la jeune fille qui aurait fait, elle en était convaincue, si excellent chevalier. Était-elle toujours en vie ? Ala commit donc une deuxième entorse au règlement du sanctuaire, et ajouta à la recherche de son futur disciple celle de l'ancienne. Sa quête fut cependant assez rapide... car "Aphrodite", par automatisme ou par instinct, était revenue dans la région même où Ala l'avait trouvée, des années auparavant. Ce fut là que le saint d'argent s'était rendue, pour les mêmes raisons, peut-être, et qu'elle avait entendu parler d'une très jolie femme, qui se présentait sous le nom d'Ala... Et qui avait un jeune enfant qu'elle avait prénommé Aphrodite. Un nom étrange, surtout dans cette région du monde, surtout pour un garçon, aussi.

Son ancienne élève ne fut pas réellement surprise de voir la chevalière. Elle l'attendait, même, avait-elle dit... Elle l'attendait, parce que même si le sanctuaire était loin derrière elle, et même si elle ne ressentait pas le moindre remord d'avoir déserté, même si à présent elle menait la vie de tout un chacun, elle ne savait que trop que son enfant possédait en lui une cosmoenergie éveillée, l'étrange puissance pour laquelle Ala était venue à elle des années plus tôt. Puisque l'histoire devait se répéter, cette fois, celle qui avait été la petite Aphrodite du camp des femmes laisserait cette fois la volonté d'Athéna se faire. Elle aimait son enfant, mais elle le laisserait partir. Ce qu'elle cacha à son ancien maitre d'armes, c'était la crainte qu'elle avait qu'Ala ne la tue pour avoir fui, autrefois.
Peut-être était ce que la femme-chevalier aurait du faire. Mais son affection pour son ancienne disciple était profond, et lorsqu'elle quitta la Suède, ce fut en emmenant l'enfant qui appartenait au sanctuaire... Mais en laissant sauve la jeune femme.

Sur le chemin du retour, elle s'attarda en Angleterre, à la recherche de celui qui un jour porterait l'armure qui la vêtissait depuis si longtemps... mais ne le trouva pas. Et elle regagna le sanctuaire en seule compagnie d'un petit garçon de trois ans aux grands yeux bleus et aux jolies boucles blondes, qui ressemblait d'ailleurs bien plus à une petite fille qu'autre chose. Elle le ramena, et, une dernière omission volontaire lui fit taire les origines de l'enfant. Il n'était guère dans ses compétences de savoir qu'en faire, mais le sanctuaire ne perdait pas de temps en réflexion, surtout lorsque la route des douze maisons était si peu gardée. Quelques courts instants à sonder l'enfant, et son avenir était décidé. S'il acquiérait le niveau, et s'il survivait, alors il serait chevalier des Poissons. Et puisqu'Ala n'avait pas trouvé son successeur, elle tâcherait de faire de cette fillette - ah non pardon, c'est un garçon - un chevalier d'or. Tâche ardue pour un chevalier d'argent, soit dit en passant, mais Ala avait confiance. L'enfant ressemblait tant à sa mère qu'elle s'y attacha de même. Et tous deux furent expédiés sur les terres peu accueillantes du Groënland.

On ne peut pas dire que les années d'apprentissage d'Aphrodite furent parmi les plus terribles ; nul doute que bien d'autres auraient aimé être entraîné comme il le fut. Enlevé jeune à sa mère, Ala à ses yeux la remplaça très vite - peut-être la première esquisse d'un caractère bien peu fidèle, mais Ala ne le remarqua pas spécialement. Cependant, il ne connut jamais son visage, alors dans son esprit, le souvenir de celui de sa mère fut assimilé à celui, inconnu, d'Ala. Alors, elle était belle, très belle. Elle était belle et forte, et rien ne comptait tant que de lui ressembler. La femme-chevalier au caractère peut-être trop tendre, loin du sanctuaire, se plaisait à élever le petit futur chevalier comme s'il eut été issu d'elle. Peut-être cela révélait-il une secrète aspiration à une autre vie, ce qui aurait expliqué la propension qu'elle avait eu à s'attacher à sa première élève, puis à son petit disciple d'or. Mais cela ne l'empêcha pas de se livrer corps et âme à a mission première, qui était tout de même de faire de la petite poupée de porcelaine dont elle avait hérité, un chevalier d'or capable d'atteindre une puissance qu'elle n'atteindrait elle même jamais. C'était, au fond, un honneur de recevoir une telle preuve de confiance de la part du sanctuaire, et Ala y était sensible. Elle fut donc fort aise de constater que l'enfant avait les capacités de sa mère, à un degré supérieur. Il apprenait vite... mais que d'étranges lubies parsemaient son quotidien... Pourquoi cette singulière orientation, si éloignée de celle qu'on aurait pu penser, pourquoi également cette passion pour les roses, qui accompagnera absolument toute sa vie, au sanctuaire comme durant son entraînement ? Cela n'a pas sa place ici, peut-être un jour l'évoquera-t-il en fonction de ses désirs.

Toujours fut-il qu'au terme des quelques années dans ce nouveau cocon de neige et de glace, sous le soleil pâle du grand nord, Aphrodite se vit remettre l'armure d'or des Poissons, et fut appelé au sanctuaire, afin de prendre sa place dans la douzième Maison sacrée du sanctuaire d'Athéna.

Ala demeura au Groenland, où elle prit en charge l'entraînement de celui, enfin trouvé, qui était appelé à reprendre son armure. Cet entraînement, différent, se solda, comme beaucoup, par un duel entre le maîte et l'élève, résultante de cette passassion d'armure. Ala, âgée à présent, perdit cet affrontement et la vie, laissant derrière elle, certainement, l'image d'une femme-chevalier dévouée et pieuse, douce mais décidée.


Apparence (6 lignes) :
L'hiver de son pays natal, Aphrodite le porte avec lui. Sa peau est de l'uniforme pâleur de la neige, les prunelles de ses yeux sont habités de la couleur et du froid du ciel du mois de mars, et ses longs cheveux ont la teinte dorée mais mate du si discret soleil de cette saison. Tout son être est investi d'une beauté délicate, quasi féminine, de la grâce fragile qu'il a hérité de sa mère. Cependant, s'il est un portrait fidèle de celle qui lui a donné la vie, d'infimes mais nombreuses différences creusent le fossé qui existe entre eux. S'il possède en effet les mêmes yeux, le regard est bien différent. Celui du Saint des Poissons est moins expressif, peut-être, plus volontiers marqué de désintérêt également, couvrant rarement les teintes dures ou au contraires, douces. Il en ira de même pour l'intégralité de ses traits, de son visage aux courbes fines. D'une taille supérieur, sa stature est plus large que celle de sa mère, ce dû au fait que malgré tout, il est et reste homme à part entière.


Caractère (4 lignes) :
Ce qu'on pourrait dire, avant tout, c'est qu'Aphrodite est un être qui se satisfait amplement. Mais il est aussi empli de paradoxes tous plus accentués que les autres. S'il n'y a rien de plus impotant à ses yeux que son propre regard, il s'attarde également à celui des autres. Point trop n'en faut cependant, puisqu'il a également la fâcheuse manie de tourner ce qui ne lui plaît pas à son avantage. Il est également d'une inconstance fascinante, capable de voir et de revoir son avis à l'infini. S'il est d'un calme plat par désintérêt le plus souvent, il s'emporte assez rapidement, et il suffit parfois d'un rien pour le faire sortir de ses gonds. Il peut lui arriver d'aller carrément chercher les ennuis par désoeuvrement ou simple envie dêtre agaçant, mais généralement, on ne rencontrera pas de problème avec lui tant qu'on le laisse en paix. A un détail près cependant : Aphrodite ne suit que ses propres inclinations, et il lui faudra une bonne raison pour agir à son désavantage. a l'inverse, il sera tout à fait enclin à élaborer un échafaudage d'idées parmi les plus extrêmes ou les plus indignes pour obtenir ce qu'il veut. Parce que rien n'est plus important que sa propre volonté.... Assez éloigné de l'esprit philanthrope censée baigner le sanctuaire, on peut soupçonner l'esthète de la douzième maison de vivre son quotidien par habitude ou par mécanisme.

Attaques (juste les citer) : Royal Demon Rose, Pirhanan Rose, Bloody Rose

Orientation sexuelle : indéfini

Autres : --
Aphrodite des Poissons
Aphrodite des Poissons
Chevalier d'or

Messages : 11
Date d'inscription : 08/11/2007

Revenir en haut Aller en bas

Aphrodite des Poissons Empty Re: Aphrodite des Poissons

Message  Deathmask du Cancer Ven 23 Nov - 16:33

Validée ^^
Deathmask du Cancer
Deathmask du Cancer
Admin, Chevalier d'or

Messages : 110
Date d'inscription : 07/11/2007

https://stseiya.forumperso.com

Revenir en haut Aller en bas

Aphrodite des Poissons Empty Re: Aphrodite des Poissons

Message  Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut


 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser