Kanon, Général du Dragon des Mers - en cours -

Prénom : Kanon

Nom : Inconnu

Surnoms : Pas beaucoup de courageux pour lui en donner

Dieu servi : Poséidon ( techniquement...)

Date de naissance :30 mai

Groupe sanguin :AB

Signe astrologique : Gémeaux

Lieu d'entraînement : Grèce

Passé :

Dans un petit village, en Grèce, par une journée chaude et ensoleillée, deux enfants se tenaient par la main, immobiles au milieu de nombreux adultes. Vêtus de noir, comme les autres personne présentes les deux garçons au visage identique, âgés d’environ 6 ans, fixaient un trou dans lequel on venait de faire descendre un cercueil. Le prêtre prononçait une prière, souhaitant que l’âme de l’homme que l’on enterrait trouverait le repos dans l’autre monde. Puis des employés approchèrent avec des pelles et lentement, comme cérémonieusement, ils commencèrent à jeter la terre sur le cercueil, jusqu’à le recouvrir totalement. Lorsque la boîte contenant le corps de leur père disparut, la main de l’un des jumeau se crispa dans celle de son frère, tan disque les larmes coulaient librement sur se joues. Son frère prenait sur lui, mais ses yeux rougis trahissaient sa tristesse. Ce n’était pas la première fois qu’ils se rendaient dans un tel endroit. Qu’on les habillaient de noir et le plaçait devant un trou dans lequel allait disparaître une personne qu’ils aimaient. Un an auparavant, le jumeaux s’étaient déjà tenus devant une stèle, située à la gauche de celle que l’on venait de dresser. Ils avaient déjà vu les employés du cimetière faire disparaître un cercueil, contenant cette fois là le corps de leur mère, morte d’une maladie incurable. Ils avaient déjà pleuré toutes les larmes de leur corps, tandis que leur père, ravagé par le chagrin promettait de les protéger à la place de sa femme. Mais il n’avait pas pu tenir sa promesse. Presque un an après sa femme, il avait succombé lors d’un tragique mais stupide accident. Laissant les deux jumeaux seuls, derrière lui. Ils n’avaient plus personne à présents. Hormis l’autre.

« Sa…Saga… »

La voix de Kanon était étouffée par les larmes et sa main serra encore un peu plus celle de son frère, la dernière personne qui lui restait en ce monde. La dernière personne qu’il aimait, et qui l’aimait.

«  Je suis là, Kanon. Je reste avec toi, petit frère… »

2 ans plus tard, Sanctuaire

Un corps s’écroula douloureusement sur le sol, soulevant un épais nuage de poussière. La respiration haletante, le jeune garçon retint une grimace de douleur. Il était fatigué, il avait mal partout… Il n’espérait qu’une chose : pouvoir se reposer un peu, à l’ombre de l’arbre qu’il distinguait non loin. Se reposer… mais une voix sèche et autoritaire le tira de son espérance.

«  Debout, Kanon !! Si tu veux devenir un chevalier, tu ne dois faiblir à l’entraînement !! »

Le corps tremblant, tous se muscle protestant douloureusement, Kanon rassembla ses forces restantes pour se relever, le souffle toujours court. Son regard se fixa sur l’homme qui se dressait devant lui, l’air peu aimable. leur maître, à saga et à lui. L’homme qui s’occupait d’eux depuis leur arrivée au Sanctuaire. Un homme dur et exigeant, qui leur faisait endurant un entraînement éreintant. Et pour quelle raison ? Parce que leur cosmos puissant, mais encore en sommeil, pouvait faire d’eux un chevalier protecteur d’Athéna et de la justice. Et pas n’importe quel chevalier. Un chevalier d’or. Mais pour ça, ils devaient être meilleurs que els autres, s’entraîner plus que les autres. Souffrir plus que les autres. Kanon n’avait pas demandé à devenir un chevalier. Mais il ne voulait pas être séparé de son frère. Et saga avait toujours aimé la justice. Et l’idée de devenir un protecteur non seulement d’une déesse mais de l’humanité était tentante. Saga voulait devenir un grand chevalier pour protéger les plus faibles. Pour éviter que des enfants souffrent, comme eux avaient soufferts. C’était un noble idéal, et Kanon s’y était rallié. Lui aussi voulait protéger des enfants de la souffrance. Mais il était si dur, de devenir chevalier. De plus, l’armure pour laquelle ils s’entraînaient, celle des Gémeaux, leur signe, était unique. Un seul entre eux pouvait y prétendre. Et cet entraînement tyrannique avait pour but de définir lequel serait le plus apte à assumer les fonctions de chevalier des Gémeaux. Mais au fond de lui, Kanon savait que cette question ne se posait même pas. Saga avait toujours été le plus fort, intérieurement, d’eux deux. C’était à lui que reviendrait sûrement ce titre. Même leur maître semblait le penser. C’était joué d’avance…

4 ans plus tard, Sanctuaire

A l’ombre de l’un des piliers du temple des gémeaux, Kanon observait, en contrebas, son frère bavarder avec le chevalier du sagittaire. Les rayons du soleil se reflétaient sur leurs armures d’or, les entourant d’un halo de lumière. Ils avaient l’air de deux anges, voir même de deux dieux, descendu parmi les hommes. Cela faisait 2 ans que saga avait été désigné comme véritable chevalier des gémeaux. Deux ans qu’il vivait au grand jour, accomplissant de nobles actions, et s’attirant amour et admiration de tous. Tapi dans son coin d’ombre, Kanon sentit la morsure familière de la jalousie. Serpent vicieux et puissant qui vivait en lui depuis quelque temps déjà. Il ne savait pas très bien quand cela avait commencé. Quand son amour pour son frère s’était teinté de haine. Quand son désir d’être prêt de lui s’était mué en volonté de le fuir. Il arrivait des moments où il ne pouvait supporter sa présence. Ni tout le prestige qui l’entourait, comme un halo de gloire permanent. Saga était un héros, un chevalier d’or. Et lui, qu’était-il ? Il avait supporter le même entraînement que saga, avait affronté els mêmes défis. Il s’était endurcie, pour pouvoir supporter tout ça. Mais tous se efforts n’avaient servis à rien. Le coup de grâce avait été donné le jour de la nomination de Saga. Kanon, même s’il l’avait toujours su, avait conservé un espoir,cruellement déçu. Il avait voulu savoir pourquoi saga et pas lui. La réponse méprisante de son maître avait fait éclaté ses dernières illusions

« Ton frère est né pour être un chevalier, pour être aimé. Il a la force et les qualités nécessaires pour ça. Toi, tu n’es qu’une ombre qui cherche à imiter cette grandeur. Tu ne vaut pas ton frère. Tu ne l’a jamais valu. Reste dans son ombre, pour le servir, voir prendre les coups à sa place C’est là qu’est ta véritable place. »

Kanon avait eu l’impression que le sol s’était dérobé sous se pieds et qu’il avait fait une longue chute vers le plus profond et le plus sombre lieu des enfers. Détruit, il s’était enfui, trouvant refuge dans l’une des ruines située aux limites du Sanctuaire. Là, il avait versé de larmes de souffrance et d’amertume. Il ne valait donc rien ? Il ne pourrait donc jamais espérer pouvoir égaler saga, ou au moins faire en sorte que son frère soit fier de lui ? Il avait espéré que son frère viendrait à sa rencontre, inquiet de ne pas le voir revenir au temple. Mais la nuit était tombée, et personne n’était venu. Kanon s’était donc résigné à rentrer, le cœur lourd. Et il l’avait vu, en train de fêter sa nomination avec ses amis du Sanctuaire. Il semblait heureux, et fier. Il était à sa place, dans ce monde de lumière et de gloire… Pourquoi se soucierait-il d’un moins que rien comme lui ? Les larmes de Kanon s’étaient taries, et alors que sa douleur se changeait en colère sourde, il s’était promis de ne plus jamais verser de larme. Il s’était refusé à accorder cette victoire supplémentaire à son frère.

« Je suis là, Kanon. Je reste avec toi petit frère… »

Une phrase surgit d’un passé révolu. Un phrase faite de mensonge. Kanon était seul. Personne ne se souciait plus de lui. Son monde venait de s’écroulait, et il gouttait pour la première fois à la morsure de la jalousie et à la tempête dévastatrice de la haine. Il le leur ferait regretter. Il leur montrerait qu’il n’avait rien à envier à son frère. Il avait été humilié, et saga n’avait rien fait. Il se promit alors d’humilier un jour son frère, par vengeance…

Il avait alors changé. Le garçon sensible et effacé était devenu associable et violent. Il n’avait plus supporté de voir qui que ce soit lui marcher sur les pieds. Leur ancien maître avait dit que le mal avait finalement jailli de profondeurs de son être et avait prit possession de lui. Il avait ajouté avoir eu raison d’avoir privilégié saga, si droit et si juste. Ce jour là, surprenant ces paroles Kanon avait failli tuer cet homme, qui l’avait tant fait souffrir. On l’avait enfermé pendant quelque temps en punition, à l’écart du monde. Il ne devait pas ternir l’image si parfaite de Saga.
Le temps avait passé, mais rien n’avait changé. Saga vivait toujours dans son monde de lumière et de gloire, tandis que Kanon s’enfonçait un peu plus chaque jour dans les ténèbres que la haine. Le lien d’amour qui les unissait s’était définitivement brisé. Tapi dans l’ombre comme un fauve à l’affût, kaon attendait son heure. Car il savait qu’elle viendrait.

2 ans plus tard, Cap Sounion

Les mains crispées sur les barreaux le corps frigorifié à force de baigner dans une eau glacée, Kanon usait ses dernières forces, tentant une fois de plus de s’échapper de sa prison. Mais les barreaux résistait, peut importait ce qu’il faisait. Sa voix s’était éteinte, à force avoir tant crié des malédictions contre son frère, Athéna, et le monde entier.
Il était finalement passé à l’acte, laissant sa haine éclater au grand jour. Il avait bien vu que son frère, si droit, dissimulait ne fait une part d’ombre, qu’il tentait de cacher. Mais il n’avait pas pu le tromper lui. Après tout, Kanon vivait dans les ténèbres depuis trop longtemps pour se laisser berner. Il avait donc tenté de faire ressurgir cette part d’ombre, de ternir à jamais l’image du noble chevalier des Gémeaux. Il avait fait part à son frère du projet qui avait germé dans son esprit, depuis l’annonce de la réincarnation d’Athéna. Cette soit disante déesse de la justice, qui n’avait pourtant rien fait pour protéger ceux qui en avaient eu besoin, ne méritait pas de vivre. Il fallait la supprimer, et régner à sa place. Plus tard, dans s prison Kanon se demanderait pourquoi il avait parlé de son projet à saga. Il aurait très bien pu le mener à bien seul, puis se venger de son frère. Mais non, il avait voulu le faire participer. Pourquoi diable ? Un reste d’amour fraternel, d’envie de retourner au temps où ils ne faisaient jamais rien l’un sans l’autre ? Quoi qu’il en soit, cela l’avait conduit à cette prison aquatique, d’où il ne pouvait s’échapper. Et où il allait mourir, il le savait, s’il ne trouvait pas un moyen de s’échapper. A plusieurs reprises déjà, il avait failli passer dans l’autre monde, mais à chaque fois, une énergie inconnu l’avait sauvé, le gardant en vie. Mais il ne pouvait pas le supporter. Il ne leur ferait pas le plaisir, à son frère et aux autres, d mourir comme un chien dans cette cage.
Il ne savait pas depuis combien de temps il était là. Le temps était devenu une notion plus qu’abstraite. Et puis finalement, il perçut quelque chose. lumière, faible, mais existante, qui provenait de la paroi, ou de quelque chose derrière la paroi. Kanon lâcha ses barreaux et s’approcha du fond de la prison. Oui, cela provenait bien de là… rassemblant les dernières traces de son cosmos, il frappa violemment dans la roche, qui se fissura, puis éclata. Et là, il tomba sur un objet totalement imprévu. Un trident, scellé dans la pierre. Et pas n’importe lequel. Celui de Poséidon, grand ennemi d’Athéna. Attiré et fasciné par l’objet divin, Kanon le libéra de ses scellés, et se retrouva aspiré aux fond de la mer. Et pas n’importe où. Devant le palais de Poséidon. Ses pas le menèrent à l’intérieur du palais, dans la salle où reposaient l’écaille divine du dieu des mers, ainsi que 7 autres. Puis tout alla très vite. Kanon brisa le scellé d’Athéna apposé sur l’urne qui se trouvait au pieds de l’écaille de Poséidon, libérant l’âme de ce dernier, enfermé depuis presque 200 ans. Il commença alors sa carrière de manipulateur en mentant au dieu, prétendant qu’Athéna s’était réincarnée pour le contrer. Le dieu des mers lui posa alors une question Simple, mais qui allait pourtant changer bien des choses.

«  Qui es-tu ? »

Kanon ne pouvait dire la vérité. Son regard se posa alors sur l’écaille situé à la gauche de celle du dieu, et une idée lui vint.

«  Je suis Dragon des mers »

Il venait de sceller son destin, s’engageant sur une nouvelle voie qui le mènerait bien pu loin que tout ce qu’il avait toujours pu imaginer. Et tandis que l’âme de Poséidon se retirait, regagnant l’hôte qu’il avait choisi, Kanon laissa échapper un rire de victoire, tout en revêtant l’écaille du Dragon des mers. Il se servirait du pouvoir que venait de lui remettre Poséidon pour exercer sa vengeance, et bientôt, très bientôt, le monde regretterait de lui avoir tourné le dos. Il deviendrait un dieu sur terre, comme dans la mer, et tous alors regretteraient de l’avoir fait souffrir et surtout de l’avoir sous estimé…


Apparence :
Il existe une expression que l'on utilise en parlant d'un homme que l'on trouve plus qu'à notre goût: " beau comme un dieu grec". C'est une expression qui convient parfaitement à Kanon. Grand, le corps merveilleusement sculptés par des années et des années d'entraînement au sein de Sanctuaire, puis dans la cité sous marine de Poséidon, ce beau grec n'a rien à envier à certaines divinités de son pays, pourrait-on dire. Sans compter que ces muscles, loin d’être de la gonflette, témoignent d’une force qui dépasse le stade humain, de part son statut de Général. Rajoutez à son charme une magnifique chevelure bleu marine qui cascade librement presque jusqu’à ses reins, une couleur qui évoque l’océan, tout comme ses yeux d’un bleu profond. Bref, Kanon est le genre d’homme sur lequel on se retourne dans la rue pour admirer la vue, même si ce dernier ne fait rien pour ça, sans pour autant refuser de profiter des avantages que son physique peut lui procurer….

Caractère :
Si vous demandez aux personnes qui l’entourent, elles vous diront que Kanon est d’ordinaire un être froid, manipulateur, cruel, méprisant, bref, tout un panel de bons sentiments. Il est le Dragon des Mers, Général en chef des armées de Poséidon, et il s’est forgé en conséquence un caractère à l’image de son rang, même si le mal qui ronge son cœur le rang plus négatif qu’il ne le devrait. Impitoyable, il écrase quiconque se dresse sur son chemin, homme, femme comme enfant. Il aime voir et faire souffrir les autres, car cela sert d’exutoire à sa propre souffrance qu’il a tenté d’enfouir au plus profond de lui.
Mais parlons-en justement, de ce qu’il a enfoui au fond de lui. Souffrance, tristesse, détresse… Les sentiments d’un frère abandonné par son jumeau et traité comme une chose sans existence par les autres. Kanon était une personne sensible, à la base, qui s’est forgé cette armure de colère et de désir de vengeance pour se protéger et ne plus jamais ressentir toutes les souffrances qu’il avait déjà subies. Sa sensibilité, sa loyauté son courage et toutes les autres qualités qu’il possédait, enfant, ne sont pas totalement mortes, mais enfouie sous une montagne de haine, il faudrait beaucoup pour les faire ressurgir…


Attaques : Golden Triangle, Galaxian Explosion, Another Dimension

Orientation sexuelle : N’a pas de préférence, tant que ça occupe correctement ses nuits

Autre : Il est le gardien du pilier de l'Atlantique Nord et général en chef des armées de Poséidon

Voilà, terminé ^^
( post à supprimer, c'est juste pour attirer l'attention, lol )

^^ Pas de soucis

Validée !

Bienvenue !

Merci ^^

Attention, tout le monde, Kanon est dans la place, mouahahahaha