Saint Seiya Resurrection
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Deathmask, chevalier d'or du Cancer

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Deathmask, chevalier d'or du Cancer Empty Deathmask, chevalier d'or du Cancer

Message  Deathmask du Cancer Jeu 8 Nov - 4:20

Prénom : Deathmask, Masque de Mort

Nom (facultatif) : --

Surnoms (facultatifs) : Angelo (en fait son vrai prénom, mais personne ne le connait)

Dieu servi : Athéna

Date de naissance (facultatif) : 22 juillet

Groupe sanguin (facultatif) : AB+

Signe astrologique (facultatif) : Cancer

Lieu d'entrainement : Sicile

Apparence (6 lignes) : Il est de taille normale (1m80) pour 73 kg. Il est plutot élancé et a une musculature fine. Il a les cheveux gris et les yeux rougeoyants où trone une lueur de démence. Il faut s'en méfier lorsqu'elle commence à apparaitre plus manifestement, c'est en général la qu'il pique une de ses fameuses crises de folie. Il a un visage viril, un nez fin et droit, des sourcils gris épais et une bouche légère peinte le plus souvent avec un sourire cynique à souhait qu'il aime par dessus tout afficher afin de ne pas se laisser dévoiler. Il a des épaules assez larges pour une taille assez étroite. A première vue c'est un homme ordinaire mais quand on voit ses yeux, on change tout de suite d'avis. Il a la peau mate de son pays natal, l'Italie....Il est beau, oui mais d'une beauté effrayante...

Caractère (4 lignes) :Deathmask est le genre de personnage qui n'en a rien à faire de tout. Il se fiche pas mal de ce que les autres pensent de lui, il sert Athéna avec sa manière à lui de dévotion, qui ne plait pas à tout le monde. Il ne supporte pas les êtres faibles et vulnérables c'est ainsi qu'il ne fait pas de cadeau et ne possède aucune forme de pitié. Il cache de très lourds secrets, personnes ne connait son passé exact, même pas Athéna. Il sera par contre prêt à risquer sa vie pour elle, sans aucune hésitation, même si d'apparence il montre tout l'inverse. Il est souvent considéré comme un traitre à cause de ca, mais n'en est pas un du tout. Il se montre hostile et agressif ou cynique envers les gens pour éviter qu'ils n'essaient de creuser.

Attaques (juste les citer) : Vagues d'Hadès, Cercles de l'Esprit, Téléportation

Orientation sexuelle : Il ne s'est jamais posé la question

Autres : Il peut voyager dans le puits des âmes sans problèmes
Deathmask du Cancer
Deathmask du Cancer
Admin, Chevalier d'or

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Deathmask, chevalier d'or du Cancer Empty Re: Deathmask, chevalier d'or du Cancer

Message  Deathmask du Cancer Jeu 8 Nov - 4:35

Passé (au moins 10 lignes) : Le chevalier sombre se dressait face à l’horizon flamboyant d’un coucher de soleil, ses yeux bleus d’une froideur et d’une indifférence totale ne semblaient point s’émouvoir de la beauté de la scène…il la fixait sans réellement la voir. Le vent marin venait balayer ses cheveux d’un bleu sombre qui voletaient comme des serpents en furie autour du visage de marbre du chevalier d’or, gardien de la 4ème maison. Son visage était paisible, mais ses prunelles noires intenses arboraient une lueur de démence enfouie qui démentait l’allure calme du chevalier…D’ailleurs il n’était calme qu’en apparence, la folie prête à éclater au moindre moment d’inattention. Il souriait légèrement en coin, ce sourire lui donnant l’air mutin d’un gamin cruel qui arrache les ailes des mouches une par une puis les pattes et qui la regarde se débattre inutilement.
Le ciel était clair, la mer limpide et malgré cela, autour du chevalier du cancer se lovait une aura qui ternissait ce paysage idyllique. Il avait la réputation d’un être cruel, insensible et sans pitié…On disait que son aura reflétait la noirceur de son âme et la plupart des chevaliers de ce sanctuaire se demandait pourquoi une armure d’or avait choisi un chevalier tel que lui, Deathmask, le chevalier de mort.
A cette idée, un sourire en coin vint orner ses lèvres fines tandis qu’il se détournait de la mer et de cette plage ou il trouvait quiétude et peut être réconfort. Il se dirigeait vers l’entrée du sanctuaire, sanctuaire qu’il n’aimait pas particulièrement…ses yeux se portèrent, calculateurs, sur les maisons des chevaliers d’or, soi disant ses « compagnons d’armes ». Soi disant oui, car le chevalier sombre ne les considérait pas vraiment comme tel, et il supposait que ces derniers non plus d’ailleurs. Il ferma les yeux un instant, son sourire se faisant cynique. Ses pensées néfastes allaient d’un chevalier à l’autre. Le premier étant le chevalier d’or du bélier, Mu de Jamir, gardien de la première maison sur laquelle Deathmask rouvrit ses yeux perçants.
Mu, chevalier aussi doux et paisible qu’un agneau…il sourit à nouveau en coin….trop doux et trop paisible…c’était la sa faiblesse à lui. Il ne l’appréciait pas plus que ça.
Son regard se porta sur la deuxième maison, celle d’Aldebaran, chevalier d’or du taureau. Celui la…il ne l’avait jamais vu…ou alors n’avait jamais vraiment pris le temps de le voir…
Oui, ce chevalier sombre ressent les cosmos et les auras, il trouve les faiblesses mais ne voit pas vraiment les chevaliers qui se trouvent autour de lui.
Ses yeux se détournèrent de manière instinctive un instant…Voir sans être vu…observer sans se laisser percer par ceux qui veulent vous découvrir…Il sent que sa vie n’est faite que de ça. Sauf…sauf un instant ou il s’est laissé percer. Il secoua la tête comme pour chasser ce souvenir persistant. Il porta son regard sur la prochaine maison celle de Saga chevalier des gémeaux. Jamais vu. Jamais entendu parler…d’une certaine manière il s’en moque bien…
La 4ème maison, la sienne…On dit que c’est une maison de mort…oui c’en est une…déjà 3 têtes d’aspirants sur son mur, noyées dans les centaines qui tapissent de manière ignoble les murs de cette demeure. Ses lèvres dessinent un léger sourire. C’est aussi le lieu qu’il préfère pour se rendre au pays des morts…de la les portails sont faciles à ouvrir et fermer. Le pays des morts, pays de repos des âmes ou de leurs tourments. Les rivières de sang coulent à flot sur des terres noires où brille la lumière des feux follets attirant ses malencontreuses victimes dans les limbes de l’oubli. Il sourit un instant à cette idée. Puis un flash, une image…celle d’un garçon âgé de 12 ou 13 ans, perdus au milieu de ce monde, cherchant désespérément réconfort et tendresse…qu’il ne trouve pas. Il secoue la tête chassant l’image et poursuit son inspection, la mâchoire serrée.
Son regard dériva sur la 5ème maison, celle d’Aiolia chevalier du lion. Il ne se souvient que d’un aspirant qu’il avait un peu bousculé. A l’évoquer, ce souvenir le fait sourire légèrement. Il ne sait pas exactement si l’aspirant avait saisi à l’époque ses intentions, et il en doute mais cela importe peu. Il ne cherche pas à être compris. Nouvelle image, un garçon, toujours le même, au bord de la bouche de l’enfer regardant des âmes tomber à l’infini, des larmes de rage coulant sur ses joues, des larmes de haine…alors qu’il voit ses proches tomber infiniment devant lui. Personne ne peut comprendre, il cherche d’un regard affolé quelqu'un. Ses yeux se relèvent sur une forme incertaine…forme oubliée…non une forme qu’il ne veut plus voir. Retour à la réalité. Ses moments d’absence deviennent pénibles et agaçants.
Ses yeux retrouvent leur lueur de présence, lueur qui s’évanouit lors de ses flashs de plus en plus fréquents, ils se posent sur le 6ème temple…celui de Shaka chevalier d’or de la vierge, l’être soi disant le plus proche de dieu. Nouveau sourire ironique. Il a toujours les yeux fermés lui. Il parait que quand il les ouvre toutes choses cessent d’exister…léger rire…foutaises…Eclair de lumière, un visage balafré dont seul un œil est ouvert…ce même œil terrible qui est constamment braqué sur le garçon. Le garçon est à terre, blessé à de multiples endroits, il se trouve au bord d’une espèce de puit…non…une bouche…la bouche béante d’un gigantesque volcan et la forme incertaine qui est toujours la…et qui regarde sans rien faire l’œil faire basculer des êtres vivants dans le volcan…
Cette fois il se prend la tête à deux mains, ses yeux se ferment sur l’image d’une femme s’aggripant au bord du volcan…La lueur de démence flamboie légèrement au fond de ses prunelles noires, ses yeux bleus se forcent à se rouvrir et se braquent alors sur le 7ème temple, le temple de la balance.
Il n’a jamais vu son gardien…et n’a pas envie de le voir, il ne fait pas dans le 3ème age. Les images se bousculent dans sa tête. La femme le regardant, s’aggripant désespérément au bord de la bouche du volcan, la forme incertaine qui regarde faire, il voit des yeux emplis de terreur, une terreur incommensurable mêlée de stupéfaction, tandis que l’œil s’approche de la femme aux longs cheveux bleu nuit…
Il hurle, un cri de rage un cri de haine qui lui permet de garder contact avec la réalité. Ses mêmes yeux qui fixaient la forme incertaine se braquent à présent sur le 8ème temple, le temple du scorpion.
Son gardien est le chevalier d’or Milo. Son regard se fait dur, au premier abord il avait cru que le chevalier du scorpion pouvait être digne d’être respecté mais ses derniers actes ont prouvé le contraire…il est faible comme tous les autres…et incompétent…
Le même cri dans une bouche plus jeune, un cri de désespoir d’incompréhension dirigé vers la silhouette floue d’un homme.
- Fais quelque chose !
Le garçon regarde la femme en pleurant, larmes de sang, larmes de vie, avec les quelques forces que lui a laissées l’œil il rampe vers elle et effleure sa main. Ses bras sont lacérés par l’effort fourni pour se maintenir aggripée à la parcelle de vie qu’il lui reste, elle pose un regard ampli d’amour et de tendresse sur l’enfant qui tente vainement de saisir le poignet de la jeune femme.
Les yeux du garçons se portent sur le visage défiguré, lueur de haine, une haine qui jamais ne s’éteindra, puis il porte son regard sur l’homme qui se tient debout à coté de son maître….son maître…un mot amer sur ses lèvres…un mot à jamais rejeté dans les limbes de sa mémoire.
S’en est trop le chevalier sombre aggripe ses cheveux à pleine main, un cri silencieux dans la gorge, son aura s’intensifie alors qu’il ne peut plus chasser les images de sa vision. Soudain de la 4ème maison s’élève une aura rougeâtre signe que le chevalier est atteint d’une de ses crises de démence.
Il est en Sicile, 10 ans plus tôt, il regarde sa mère s’aggriper au bord du volcan. Il la tient par le poignet…il n’a plus de force…si elle lâche il ne pourra pas la retenir et il le sait. Il rampe encore légèrement vers elle et saisit à 2 mains les poignets de la jeune femme au regard magenta doux et tendre,
- Je…je te tiens maman…
La jeune femme se contente de lui sourire lâchant le bord du volcan et venant s’aggriper à ses mains. Il tire…il sent qu’il est à bout de force…et son père qui ne bouge toujours pas…il est debout regardant la scène d’une air ahuri. Son maître est à coté…à quelques mètre. Le jeune garçon tire de toutes les forces qu’il lui reste, il remonte légèrement sa mère et une lueur d’un espoir fou apparaît alors en lui tel un bûcher brûlant. Un cri suppliant monte alors à sa gorge :
- Papa ! fais quelque chose…pitié !
Le maître qui n’avait bougé jusqu’à maintenant réagit au mot pitié…et il pousse l’homme au fond du volcan…
Les yeux du garçon s’écarquillent sous le coup de la colère et de la tristesse, le cœur brisé il serre les dents et fait un pas pour se relever et tirer sa mère, seule survivante de sa famille. Son maître lui sourit, un sourire satisfait et cruel. Le garçon se relève…il va y arriver oui…mais il retombe…inlassablement. Et cette fois il le sait..il n’a la force que de maintenir la femme entre vie et mort…
L’œil se rapproche, il avance vers lui. Il sent la mort approcher aussi, il n’a pas peur de mourir…il veut sauver sa mère. Son maître est à coté de lui désormais il croise les bras et le regarde, méprisant. Puis soudain le coup part.
La joue du garçon est en feu, son nez est brisé, il retient le mouvement de protection car s’il se protège de ses mains il ne pourra pas retenir sa mère. L’homme sinistre vient alors vers ses poignets et met un pied dessus. Le garçon crispe les dents en fermant les yeux…il doit…il doit tenir…Sa mère le regarde…elle a toujours son regard tendre…mais…il ne voit plus l’espoir et le goût de la vie dans ses yeux la…il tient…il essaie de continuer à tenir.
Son maître appuie plus fort, il gémit doucement, il sent chacun de ses os craquer…le chevalier qui le forme commence alors à lui taper fortement sur le poignet, il sent la sueur dans ses mains, avant qu’il n’aie plus de sensations et soudain il sent un poids de moins…un cri silencieux, un froissement d’un tissu d’une robe, il rouvre les yeux et voit sa mère basculer dans la lave, ses cheveux bleus nuits formant un voile de deuil autour de son visage. Le volcan gronde. Il la réclame. Elle rouvre les yeux dans un ultime sursaut d’amour pour son fils et la lave la consume. Aucun cri ne sortira de sa gorge…aucune plainte. Le garçon a le bras encore tendu, la main fermée sur celle de sa mère…invisible et absente à présent.
Une douleur sourde et aigue alors qu’il roule de coté perdant la vision de sa mère, il se retrouve couché à l’extrême bord de la bouche du volcan…puis une aura de mort l’entoure…un froid incessant et constant l’envahit et il se trouve au bord de la bouche de l’enfer. Le jeune garçon relève des yeux farouches et haineux sur son maître…Ce même maître qui lui désigne une silhouette dans la foule des Ombres…la silhouette de sa mère…
Le garçon fait un geste vers elle, un pas…tandis que son maître l’immobilise puissamment et le force à regarder…à regarder ces proches un à un…basculer dans le gouffre de l’enfer…un à un jusqu’au tour de sa mère…le temps semble se figer…le garçon à l’âme et au cœur détruit regarde sa mère impuissant…sa mère qu’il a tué de ses propres mains…une phrase ensuite…dite d’un souffle dans sa tête…la voix de son maître
- Seuls les vivants peuvent te faire du mal…les morts ne peuvent plus…
Et sa mère bascule dans les ténèbres. Un cri, le cri d’un gamin perdu, le cri d’un enfant à jamais détruit…le cri du désespoir et de la haine incarnée. Le maître sourit l’air satisfait. Il a fait de son élève ce qu’il voulait…il l’a mené vers le chemin de la déshumanisation. Il regarde la mère du garçon tomber à l’infini dans la bouche béante en réfléchissant et en regardant l’urne d’une armure d’or en équilibre sur le bord du gouffre. Quand soudain…il sent un cosmos se développer. Une aura de haine et de souffrance. Le maître regarde d’où provient cette aura. Le garçon le fixe le regardant avec des yeux de dément, des cernes noirâtres apparaissant petit à petit sous les yeux autrefois juvénile et candide du garçon Le maître se retourne étonné par la transformation du jeune garçon Il arbore à présent un sourire ironique et cruel son doigt se pointant sur son maître…son cosmos poussé au maximum…un rayon…un simple rayon…qui vient heurter l’œil et qui le crève…l’homme qui fut autrefois son maître tombe à genoux, aveugle et sans défense…un autre rayon vient le transpercer de coté, puis de face pour finir les coups sont tellement rapprochés qu’il ne distingue qu’une seule et même attaque infinie et meurtrière…
Le jeune garçon s’approche, ses yeux sont a présent vides de tout sentiment hormis une haine incommensurable. Il ferme les yeux et sourit ironiquement :
- Vous l’avez dit vous-même… « maître »…seuls les vivants peuvent vous faire du mal…les morts…ne le peuvent plus.
Et sur ces mots le jeune apprenti fait basculer son maître dans les ténèbres…savourant le goût amer de la vengeance et de la mort. Une harmonie…une symbiose se crée entre lui et l’étrange boite dorée qu’il observe depuis longtemps…il sait…il sait que cette boite renferme une partie de sa vie déterminante…il attendra…

Retour brutal à la réalité. Le chevalier nommé depuis ce jour Deathmask s’écroula à terre, du sang coulant de ses tempes et des ses yeux. Ses forces étaient amoindries, son cosmos au plus bas…la crise est passée…personne n’était la cette fois…Personne n’a subi sa crise…quand cela se produit… si quelqu’un est la…il prend automatiquement la forme de son maître…et finit lui aussi dans le pays des morts…
Il se releva en vacillant, dans son âme meurtrie il a encore le goût de tout ce qu’il a perdu à jamais…Il se força à rouvrir les yeux et les images disparurent…seul le goût du sang…son conditionnement à la haine de son prochain persistait…son regard était brouillé par le sang déversé par ses yeux…Ainsi le chevalier funeste rejoignit son temple, dans l’incompréhension, dans le désir de vengeance et seul avec sa haine immense et ses souffrances enfouies au plus profond de lui…
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